Histoire du kender Ouflaloff au cours d'une campagne D&D 3.5

Ouflaloff fut élevé par son grand père Meran enfin pensait il que c'était bien son grand père.
C'est ce que Meran lui avait toujours dis. Le plus étrange dans tous cela c'est que Meran appelait toujours Ouf Merin qui était en fait le nom du fils des voisins. Voisins qui était fort charmant la femme s'appelait Ouflaline et le mari Ouflalav et bien sur leur fils Merin.

Ce qui faisait rire Ouflaloff, c'est que les voisins était persuadés d'avoir appelé leur fils comme lui justement Ouflaloff, mais que en fait la sage femme leur a dis qu'en voyant leur fils naître que le beau frère du fils de la sœur de leur grand mère voulais qu'ils le nomme Merin.

Donc Ouflaloff fut élevé par son grand père Meran. Meran avait connu Kendormore et passait ses soirées à conter au jeune Ouf comment était belle notre cité. Ouf se voyait déjà déambulant dans ces rues. Meran était présent à Kendormore lorsqu'elle fut détruite par le grand dragon. Il en avait même perdu la vue. Oui car Meran était aveugle, il avait perdu la vue pendant la destruction de Kendormore en se mettant face au dragon pour l'arrêter, c'est ce que lui racontait du moins Meran pendant les soirées.

Ouflaloff, en rentrant un soir, vit Meran assis près de la cheminé, il avait les pieds presque au dessus des braises, en train de fumer une petite pipe. Lorsqu'il entendit Ouf entrer il tourna la tête dans sa direction et le salua tout en l'appelant Merin.
Ouflaloff tout heureux venait d'abattre non sans mal sa première créature suite à une lutte acharnée. Il jeta donc le lapin qu'il venait de combattre sur la table. Pendant le repas, Ouf posa encore et encore beaucoup de questions sur Kendormore, il adorait que son grand père lui en parle. Meran repartit donc dans une longue discussion sur Kendormore.

Le grand père avait toujours un grand sourire lorsqu'il parlait de Kendormore, et une grande tristesse lorsqu'il se mettait a parler du dragon qui a détruit la belle cité. Ouf voulait plus de détails sur ce dragon, Meran lui dit qu'il avait vu le dragon de ses propre yeux et qu'il avait senti à son approche un grand malaise, comme si son estomac s'était noué, sûrement de mauvais fruits mangés avant.

Le grand père disait souvent que ce qui avait été le plus terrible était d'avoir croisé le regard de ce monstre, il avait des yeux d'une beauté magnifique mais terrible. Le grand père disait souvent à Ouflaloff qu'il avait les yeux aussi beaux que ceux du dragon. Cela impressionnait beaucoup Ouflaloff que son grand père aveugle lui dise qu'il avait les yeux d'un dragon.

Un jour Ouflaloff vint voir son grand père et lui dis :

"- Papy !
- Oui Merin ?
- J'vais partir Papy !
- Tu a tout bien préparer tes affaires p'tit ?
- Bah oui j'prends notre mule papy, Archy
- Ah Archy la mule des fermiers humains plus loin ?
- Oui papy, elle était dans le champ à pas savoir quoi faire, ils ont du apprendre que je partais et m'ont préparé la mule.
- Oui tu a bien fait Merin.
- Papy tu sais je vais reconstruire Kendormore et je viendrai te chercher après pour que tu vois ça !
-Alors ça c'est une bonne idée Merin, j'vais préparer mes affaires, la semaines prochaine je serais prêt petit.
- Bon j'y vais papy "

Le petit kender embrassa son grand père, puis prit les mords de la mule et la tira, elle était chargée de pelles, pioches, tente ... Quelques centaines de mètre plus loin Ouflaloff se tourna vers la petite chaumière de son grand père, Meran était sur le pas de la porte et semblait regarder dans une direction opposée a celle de Ouf et saluait du bras comme pour dire au revoir à un ami.
Ouf se demandait bien qui pouvait partir de l'autre côté mais il ne vit personne alors il continua son chemin. Arrivé en haut de la colline, il vit l'humain, le fermier voisin qui faisait de grand mouvement de bras vers lui, comme pour lui dire au revoir. Alors Ouf en bon kender le salua aussi en criant et bougeant la main. Le fermier semblait crier fort, car même aussi loin Ouf l'entendait il disait :

"Ma Mule .... revient ... espèce de Vo..."

Ouflaloff, lui cria a son tour qu'il en prendrait bien soin et qu'il lui ramènerait bientôt et qu'il le remerciait beaucoup de l'avoir préparée pour son départ, car Ouflaloff avait trouvé la mule Archy arnachée et avec des pioches et pelles sur le dos comme si le paysan avait su pour son départ et lui avait préparé la mule.

Cela faisait déjà plusieurs mois que Ouf et Archy avançaient cherchant un endroit propice pour reconstruire Kendormore. Récemment Ouflaloff s'arrêta aux abords de la ville de Pashin, le terrain paraissait propice, non loin des forêt emplies de minotaures ce qui amuserait sûrement les jeunes kenders.
Alors Ouflaloff, posa sa tente, et commença les travaux. Mais au bout de 4 jours des hommes arrivèrent vers le kender. Il avait quasiment fini les fondations de la cité, un trou énorme de 2 mètre de long sur 2 de large sur 10 cm de profondeur. Les hommes avancèrent vers lui, c'était des garde de la ville. Il lui demandèrent ce qu'il faisait, et Ouf leur expliqua qu'il comptait reconstruire une Kendormore ici. Les gardes rirent et lui dirent qu'il était interdit de creuser ici qu'il fallait aller voir ailleurs.
Ouflaloff, mécontent se dit qu'il valait mieux ne pas faire la cité ici avec des voisins aussi bêtes. Il trouverait bien un autre endroit plus propice. Il attacha donc sa pelle et pioche sur la mule et pris la direction de Pashin non loin.

Arrivé en ville, il vit beaucoup d'animation, il s'avança donc et vit le marché, ah! il aimait beaucoup les marchés, il continua à avancer parmis les marchands mangeant une pomme qu'il avait ramassée sur une étable à côté, d'ailleurs derrière lui on entendait un homme crier au voleur, Oh voleur ma pomme. Ouf soupira, les grandes villes n'étaient pas très sur avec toute cette racaille de voleurs, voler une pomme faut être tombé bien bah pour un voleur.

Il avança donc un peu et entendit un autre grand pas crier au voleur, Ouflaloff se dis que cette ville était infestée de ces bandits sans foi, il approcha donc et vit un Kender protégeant une petite Kender de sa main face à un grand pas énervé, il jeta sa pomme, attacha sa mule et fonça vers ce groupe, non mais oh ....

L'homme qui criait au voleur sur les deux petits kenders était un noble semble-t-il. Ouflaloff s'avança donc vers lui pour lui dire d'arrêter de crier sur les deux autres kender. Mais un centaure passa prêt de lui et s'interposa entre l'homme et les kenders lui disant de les laisser tranquille. L'homme insulta le centaure qui commençait à s'énerver.
Pendant ce temps Ouflaloff en profita pour tirer les deux autres kenders à l'abri mais le noble l'attrapa et le souleva de terre en criant "ils avaient un complice". Deux autre hommes armés de gourdins s'avançaient pour aider le noble mais le centaure ne prit pas la peine de s'expliquer et frappa un des gardes du poing on entendis un gros "crac" et celui-ci partit en courant ainsi que les autres personnes. Une femme s'avança et essaya de calmer le centaure. Cette femme portait une robe bleue et un symbole de Mishakal.
Ouflaloff remercia le centaure et invita celui-ci et la prêtresse à boire un verre. A ce moment la petite kender qui voulait nous offrir un verre pour l'avoir aidé sortit une énorme chaussette de son sac. Interloqué on se demandait bien que pouvait être cette chaussette surtout qu'elle sentait pas bon. Et pis plus loin on a vu un ogre qui était là qui semblait chercher quelques chose, on s'est aperçut que lui aussi il avait perdu une chaussette.
Ca tombait bien que la petite kender en trouve une alors on lui a donner, l'ogre il était très content et est venu avec nous boire un verre. Sur la route y'a un messieur gentil qui a donné une pièce d'or à la petite kender car elle voulait s'acheter quelque chose alors lui aussi on l'a invité à boire un verre, un humain très gentil.

Avec mes nouveaux compagnons nous nous sommes dirigés vers l'auberge la plus proche, mais en avançant on a vu de l'agitation vers la plus chic des auberges de la ville. En s'approchant on a entendu que le plus grand héraut du coin faisait une prestation le soir même à l'auberge.
Nous y sommes donc entré. Il y avait beaucoup de monde dans l'auberge, mais nous avons réussi à trouver une table. Comme je comprends pas ce que dis l'ogre, je lui ai offert une cloche, il avait l'air très content. Le spectacle a commencé, le barde très réputé pour ses visions a commencé à raconter une histoire sur la déchéance des chevaliers de Neraka. Bah ça a pas trop plu au public car y'avait des chevaliers de Nerakka dans l'auberge.
Moi comme je voyais rien, je suis monté sur les épaules de l'ogre, et pis pendant le spectacle l'odeur était si forte que je me suis dis que mon pauvre ami ogre ne pouvais peut-être pas se laver le coup alors j'ai sorti mon savon et j'ai commencé à le nettoyer. Il devait être très content car il bougeait dans tout les sens et essayait de m'attraper sûrement pour me remercier. Le spectacle a continué mais certains commençaient à jeter des fruits sur le pauvre barde alors Limili a voulu leur demander de stopper mais c'est parti en bagarre dans tous les sens.

Après la bagarre, Limili a voulu soigner le barde qui semblait bien mal au point et celui-ci est parti dans un délire disant qu'on devait retrouver une clé qui nous appartenait mais qui n'était pas tout a fait une clé et qu'un homme qui était le chef d'un groupe de mercenaires qui campait non loin d'ici nous avait volé. Moi j'trouve ça plutôt cool mais les autres sont pas trop emballés. Il trouve ça bizarre.
L'aubergiste nous a demandé d'aller manger le repas du soir ailleurs pour qu'il est le temps de ranger son auberge pour la nuit. Alors on est parti manger dans une autre auberge.

Lorsqu'on est arrivé il n'y avait presque plus de place y'avait juste une table où il y avait un homme seul alors je me suis mis à coté. En fait c'était pas un humain remarquez c'était pas un ogre non plus c'état un demi ogre. Il s'appel Gork. Il est très gentil je lui est proposé que l'ogre lui paie son repas en plus lui il peut aussi parler au rejeté de Caern, ah oui c'est le nom de l'ogre, car Gork il parle la même langue que l'ogre. J'crois que je vais leur demander qu'ils m'apprennent.
On a mangé pis comme je voyais l'ogre qui n'arrêtait pas de me regarder pour rire je lui ai lancé de la nourriture au visage. Il m'a regardé et a voulu me lancer quelques chose au visage mais j'ai eut le temps de me baisser. Ah la la qu'est ce que j'ai bien rit quand le morceau de viande a atterri sur la tête d'un chevalier de Nerakka. Mais le chevalier avait pas l'air de bonne humeur il s'est levé et a commencé à insulter l'ogre. Là aussi j'ai bien ri car l'ogre y comprenait pas ce que lui disait le chevalier alors il continuait à manger.
Mais bon le chevalier commençait à monter le ton et insulter mon amis alors je m'en suis mêlé. Le chevalier a demandé à ce qu'on sorte, et oui les chevaliers on m'a dit c'est eux qui dirigent la ville.
Alors on est sorti mais l'ogre lui il est resté puisqu'il comprend pas il a pas sut qu'il fallait qu'on sorte. Mais dehors on l'a attendu car Radamante aussi était resté avec l'ogre.

Un moment la porte s'est ouverte et j'ai vu trois chevaliers nerakka jeter le corps de l'ogre dehors, ils l'avaient frappé et assommé. J'ai poussé un cri de fureur qui aurait fait peur à un lion et j'ai chargé en criant dans l'auberge. Mais chose étrange j'avais l'impression que la porte reculait en même temps que j'avançait en criant à l'assaut.

En fait le demi ogre Gork il me tenait en l'air, et je courais dans le vide. Ensuite Radamante il est sorti de l'auberge calmement. Alors Gork a traîné l'ogre jusqu'à notre auberge, moi je suis monté dessus pour faire de la luge mais la prêtresse était pas trop contente.
Arrivé à l'auberge il a fallut que l'Ogre paie sa chambre alors j'ai pris sa bourse et là c'était très drôle parce que tout le monde me regardait fixement comme si j'allais voler un amis rhala la la.

Puis on s'est tous couchés, le matin j'ai entendu la petite cloche que j'avais donnée à l'Ogre sonner alors j'ai utilisé mon sifflet et j'ai sifflé le plus fort possible pour qu'il sache dans quel chambre j'étais, apparemment y'a beaucoup de monde qui s'est levé de bonheur comme nous, et pis ils me regardaient bizarrement comme ci c'est moi qui les avais tous réveillés.

A suivre